Au cours du mois d'avril, plus de 280 000 Afghans ont été forcés de rentrer chez eux ou ont été expulsés du Pakistan et de l'Iran. Nombre d'entre eux ne disposent d'aucune ressource et ont besoin d'une assistance d’urgence pour se reconstruire. Le HCR travaille avec ses partenaires pour aider les familles qui rentrent au pays avec un soutien financier d'urgence afin qu'elles puissent payer la nourriture et le transport, mais dans un contexte de coupes budgétaires sévères, un soutien international plus important est nécessaire pour fournir une assistance supplémentaire, tels qu’un soutien spécialisé aux femmes et aux enfants à risque, des services de soins de santé, une assistance juridique et une aide à la réintégration.

La chute du gouvernement Assad en décembre 2024 a ouvert la perspective d'un retour chez eux pour plus de 7 millions de Syriens qui restent déplacés à l'intérieur du pays après 14 ans de conflit et de crise, ainsi que pour quelque 5,5 millions de réfugiés syriens toujours accueillis dans les pays voisins. Parmi les premières personnes à rentrer chez elles le 15 avril avec l'aide du HCR, l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés, se trouvaient Shahrzad et ses filles, ?gées de 7 et 8 ans. Les deux filles attendaient avec impatience que leur mère termine les formalités pour commencer leur voyage de retour vers Al Mayadin, dans la province de Deir-ez-Zor, à environ 200 kilomètres au sud, où elles retrouveront leur père qui a passé les deux derniers mois à Damas pour suivre un traitement médical.

Selon les estimations du HCR, 1,4 million de Syriens?-

Après avoir survécu à un tir de missile qui a dévasté sa maison, Nadiia, 70 ans, a trouvé la sécurité, un abri et un soutien psychologique gr?ce à la réponse rapide du HCR et au soutien des donateurs.

Une employée du HCR dans un entrep?t à Beyrouth, au Liban. Le HCR répond aux crises humanitaires depuis sa création il y a près de 75 ans.

Après cet entretien, Idris a été contraint de fuir Al Jabalain, dans l'?tat du Nil Blanc, car les combats ont atteint cette région. Son histoire met en lumière les défis et l'incertitude auxquels sont confrontés de nombreux déplacés au Soudan dans leur quête de sécurité.

Le HCR et ses partenaires sont contraints de suspendre ou de restreindre certains programmes de santé, d'éducation et d'autres initiatives essentielles en faveur des réfugiés au Tchad en raison d'un grave manque de financement.

Le HCR et ses partenaires sont contraints de suspendre ou de restreindre certains programmes de santé, d'éducation et d'autres initiatives essentielles en faveur des réfugiés au Tchad en raison d'un grave manque de financement. Le domaine de la santé reproductive est particulièrement affecté, avec la fermeture d'une maternité qui accueillait les femmes réfugiées. De plus en plus de femmes sont désormais contraintes d'accoucher à domicile sans assistance médicale, ce qui entra?ne une augmentation de la mortalité maternelle et infantile.

Gr?ce au programme de bourses DAFI du HCR, Suhaila a pu poursuivre des études supérieures. Sa famille avait fui l'Afghanistan quand elle avait 4 ans. ?coutez son témoignage.

Le manque de fonds disponibles et l'incertitude profonde quant au niveau des contributions des donateurs cette année ont contraint l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) à suspendre tous les traitements médicaux pour les réfugiés en ?gypte, à l'exception des procédures d'urgence vitales. Ces suspensions concernent les opérations de cancérologie, de chimiothérapie, de chirurgie cardiaque et les médicaments pour les maladies chroniques. Les plus de 1,5 million de soudanais actuellement en ?gypte après avoir fui la guerre civile, seront parmi les plus touchés. Le HCR donne la priorité aux activités vitales et à l'aide aux groupes les plus vulnérables, notamment les enfants non accompagnés et les victimes de violences sexuelles et de tortures. Cependant, sans une augmentation urgente du financement, même ces programmes sont menacés.

En réponse à la crise humanitaire de grande ampleur provoquée par la guerre en Ukraine, le HCR travaille de concert avec les autorités nationales, les autres agences des Nations Unies, les communautés déracinées et les partenaires locaux et internationaux pour fournir une assistance nécessaire de

Varvara, 18 ans, est originaire de l'Ukraine. Forcée de fuir le conflit en 2022, elle?pensait qu'elle ne pourrait plus poursuivre son rêve, celui de vivre de sa passion pour la scène.

Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie en février 2022, près de 11 millions d'Ukrainiens ont été contraints de fuir leurs foyers et sont désormais soit déplacés à l'intérieur de leur propre pays, soit réfugiés à l'étranger. L'ampleur de la crise humanitaire est immense, mais la réponse qui y est apportée l'est tout autant. Le HCR, l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés, et bien d'autres organisations travaillent d'arrache-pied en vue de s’assurer que les populations affectées puissent vivre en sécurité et dans la dignité, malgré la guerre en cours.

En Mauritanie, un réseau de journalistes comme Hawa Ba, appuyé par le Fonds pour la consolidation de la paix, mène une lutte active contre la violence sexiste et les stéréotypes de genre à travers leurs reportages.

Le Fonds attribue des centaines de subventions à des organisations de la société civile dans le monde entier pour fournir des soins médicaux, psychologiques, juridiques, sociaux et d'autres formes d'assistance aux victimes de torture.